2025 : L’année des résolutions pour les entreprises.

2025 : L’année des résolutions pour les entreprises.

L’année 2025 marque un tournant significatif dans notre histoire collective : un quart du XXIᵉ siècle est déjà derrière nous. Ainsi, cette étape permet aux entreprises d’évaluer leurs progrès et de fixer de nouveaux objectifs.

En effet, cette période est marquée par des progrès majeurs dans les domaines technologique, médical et sociétal. Ainsi, 2025 s’impose comme une année propice aux résolutions stratégiques et responsables.

Trois priorités stratégiques pour l’avenir des entreprises

Pour rester pertinentes dans un monde en mutation, les entreprises doivent concentrer leurs efforts sur trois axes essentiels :

La santé mentale au travail : en promouvant un environnement favorable au bien-être psychologique des collaborateurs, elles augmentent leur attractivité. La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) consiste à intégrer les enjeux sociaux et environnementaux dans les stratégies d’affaires afin d’amplifier leur impact positif. La transition écologique : en adoptant des pratiques durables, elles réduisent leur impact environnemental tout en créant de la valeur.

• La santé mentale au travail : en promouvant un environnement favorable au bien-être psychologique des collaborateurs, elles augmentent leur attractivité.
• La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) : en intégrant les enjeux sociaux et environnementaux au cœur des stratégies d’affaires, elles renforcent leur impact positif.
• La transition écologique : en adoptant des pratiques durables, elles réduisent leur impact environnemental tout en créant de la valeur.

La santé mentale : Grande cause nationale en 2025

En 2025, la santé mentale a été proclamée Grande cause nationale en France (source officielle). Cette reconnaissance officielle souligne l’importance du bien-être psychologique dans la sphère professionnelle. Par conséquent, selon les dernières statistiques, 60 % de la population mondiale est en emploi, mais près de 55 % des salariés se disent stressés. Ce stress, généralement causé par des conditions de travail inappropriées, pousse 30 % des employés à envisager de démissionner pour protéger leur santé mentale.

Un enjeu de taille pour les entreprises

Pour répondre à cette problématique, les entreprises ont tout intérêt à effectuer des audits internes. En effet, ces évaluations permettent d’identifier les zones de tension et de proposer des solutions adaptées. Voici les étapes clés de ces audits :

Analyser l’environnement de travail : évaluer les conditions physiques et organisationnelles pour repérer les points à améliorer. Comprendre les perceptions des employés : mener des entretiens avec les collaborateurs afin d’identifier les problèmes sous-jacents.

Mesurer la satisfaction : analyser l’écart entre les attentes des employés et celles de l’entreprise pour repérer d’éventuels déséquilibres.

• Analyser l’environnement de travail : évaluer les conditions physiques et organisationnelles pour repérer les points à améliorer.
• Comprendre les perceptions des employés : organiser des entretiens avec les collaborateurs pour détecter les problèmes sous-jacents.
• Mesurer la satisfaction : comparer les attentes des employés avec celles de l’entreprise pour identifier les déséquilibres.

En conséquence, ces actions fournissent une vision globale de l’état social de l’organisation, ouvrant la voie à des mesures concrètes. Par ailleurs, améliorer la santé mentale des équipes contribue directement à renforcer leur engagement et leur productivité.

Les impacts de l’environnement de travail sur la santé mentale

Un employé passe en moyenne 35 heures par semaine au travail. Ainsi, la qualité de sa santé mentale influe directement sur sa performance. Malheureusement, les troubles psychologiques constituent une cause majeure d’absentéisme :

22 % des arrêts maladie sont liés à des problèmes de santé mentale.Ces absences coûtent en moyenne 3 000 euros par employé et par an aux entreprises.

• 22 % des arrêts maladie sont liés à des problèmes de santé mentale.
• Ces absences coûtent en moyenne 3 000 euros par employé et par an aux entreprises.

Identifier les causes principales du mal-être

Les facteurs contribuant au mal-être des salariés sont multiples :

Une charge de travail excessive, engendrant un stress chronique.Un manque de reconnaissance, qui démotive les collaborateurs. Des comportements toxiques, tels que le harcèlement ou les conflits interpersonnels.

Un déséquilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, souvent responsable de l’épuisement professionnel.

• Une charge de travail excessive, engendrant un stress chronique.
• Un manque de reconnaissance, qui démotive les collaborateurs.
• Des comportements toxiques, comme le harcèlement ou les conflits interpersonnels.
• Un équilibre vie professionnelle/vie personnelle déséquilibré, souvent à l’origine de l’épuisement professionnel.

Transition écologique et responsabilité environnementale

La transition écologique demeure une priorité mondiale, et 2025 pourrait marquer un tournant décisif pour les entreprises en matière de durabilité. Pour cela, plusieurs initiatives clés méritent d’être mises en place :

Formation et sensibilisation à la RSE : tout d’abord, des programmes spécialisés, comme ceux proposés par ESCadrille, permettent une initiation aux fondamentaux du développement durable. Ensuite, ils forment toutes les parties prenantes à intégrer la RSE dans leurs pratiques quotidiennes.

Bilan carbone : en outre, réaliser des évaluations préliminaires pour identifier les principales sources d’émissions est essentiel. Grâce à ces bilans, il est possible de collecter des données sur la consommation énergétique et de proposer des recommandations personnalisées afin de réduire l’empreinte carbone.

Reporting RSE : par ailleurs, le suivi des performances environnementales et sociétales, soutenu par des outils de reporting, aide les entreprises à rester alignées sur leurs objectifs de durabilité.

• Formation et sensibilisation à la RSE : tout d’abord, des programmes spécialisés, comme ceux proposés par ESCadrille, permettent une initiation aux fondamentaux du développement durable. Ensuite, ils forment toutes les parties prenantes à intégrer la RSE dans leurs pratiques quotidiennes.
• Bilan carbone : en outre, réaliser des évaluations préliminaires pour identifier les principales sources d’émissions est essentiel. Grâce à ces bilans, il est possible de collecter des données sur la consommation énergétique et de proposer des recommandations personnalisées afin de réduire l’empreinte carbone.
• Reporting RSE : par ailleurs, le suivi des performances environnementales et sociétales, soutenu par des outils de reporting, aide les entreprises à rester alignées sur leurs objectifs de durabilité.

Pour en savoir plus, découvrez notre prestation RSE :

Avancées technologiques au service de l’impact sociétal

L’évolution technologique offre aux entreprises des opportunités inédites pour intégrer la RSE dans leur stratégie globale. Par exemple, des plateformes dédiées permettent un suivi précis des indicateurs sociaux et environnementaux, facilitant des décisions éclairées et alignées avec les attentes des parties prenantes. De plus, les outils numériques automatisent les processus de collecte de données pour les bilans carbone, rendant les audits plus accessibles et précis.

Des résolutions ambitieuses pour un avenir durable

En conclusion, 2025 ne se limite pas à une étape symbolique ; c’est une réelle occasion pour les entreprises de repenser leurs priorités. En s’engageant en faveur de la santé mentale, de la transition écologique et de l’innovation en RSE, elles contribuent à bâtir un environnement de travail plus sain, éthique et durable. L’avenir appartient aux organisations capables de se transformer tout en prenant soin de leur écosystème humain et environnemental.